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Baby, how do you sleep when you lie to me? // Eliott

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(#) Baby, how do you sleep when you lie to me? // Eliott    Mar 13 Sep - 22:25

Eliott Taylor
nom : ((Taylor)). Un nom que tu fuis comme la peste, seul vestiges d'un passé douteux, cauchemardesque. Quelques lettres qui te rattaches à quelqu'un que tu cherches à fuir à tout prix. Ombre sur ton petit tableau, tâche que t'aimerais effacer, récurer. S'il n'y avait pas Dany, ça fait bien longtemps que ton nom aurait sauté.
prénom(s) : ((Eliott)), la douceur d'un prénom soufflé dans le creux de ton oreille à la naissance. Murmuré comme un secret, avec toute la tendresse du monde. Un prénom souvent raccourcis au profit d'un joli "Eli" prononcé bien souvent par ton cadet et tes amis. ((Kane)), pseudonyme bien plus franc, plus dur dans la prononciation. Celui que tu dois à ton géniteur. Dernier vestige, là encore, de la branche paternelle de ton arbre généalogique. Grand père inconnu au bataillon dont tu partages le prénom. Trace unique sur tes papiers d'identité, parce que tu ne l'évoques que très peu.
âge : ((Vingt huit petites années)) écoulées. La trentaine qui te nargues, que tu tentes d'ignorer. Tu ne vois pas le sable s'amasser dans le sablier, tu ne le regardes pas. Les opales fixées sur le présent, tu profites quand le temps sembles s'amenuiser. Tes pas te guides vers l'avant quand tes prunelles regardent ailleurs.
date et lieu de naissance :((Born and raise here.)) Tu a vu le jour entre ces murs, dans cette jolie communauté. Tu y as grandis, et même si maintes fois tu l'as quitté pour découvrir de nouveaux horizons, ton coeur te ramènes toujours à la maison. C'est un matin de ((Novembre, le vingt et un)), que tu as poussé ton premier cri dans les bras de ta mère.
nationalité et origines : Si tu es fier de ta nationalité ((américaine)), tu ne peux que souligner tes origines anglaises qui te tiennent tant à cœur. Un cadeau de ta génitrice qui coule dans tes veines et que tu clames, encore aujourd'hui, haut et fort. Si bien que ton accent est très britannique.
emploi/études : ((Professeur d'histoire)), tu as toujours eu pour vocation d'élever les esprits juvéniles. L'histoire dans le sang, t'es un véritable passionné depuis l'enfance. L'envie de captiver les jeunes esprits comme tu as pu l'être, toi aussi, à leurs âges.
situation financière : $$$$$, Si tu n'es pas le plus fortuné que ces rues aient fréquentés, tu ne peux pas blâmer ta situation. Tu as tout ce qu'il te faut pour vivre, voir plus encore. Tu ne t'es jamais plains de ta condition, loin de là.
situation amoureuse : ((Célibataire)), perdu entre deux flots, le myocarde déraciné, brisé, piétiné de si nombreuses fois que tu n'en fais plus le compte. Une partie du palpitant gelé, prunelles vacillantes sur un sourire que tu détailles tous les jours, que tu te refuses d'aimer. Relations enchaînées, t'as cru aimer, plus d'une fois. Douce illusion, frontières floue entre l'affection et l'amour.
orientation sexuelle : Tu n'as jamais regardé les corps des autres quand il s'agissait d'amour ou d'attirance. Ce qui t'importes, c'est l'âme que l'âme et ce qu'elle renferme. Tu ne t'attardes pas sur la chaire, c'est le coeur qui te parles.
a Green Bay depuis : ((Toujours)) Tu as vu le jour et as grandis ici. C'est chez toi, ta maison, ton cocon. Tu en connais les rues par coeur à force de les prendre. Et si tes études t'ont amenés loin d'ici quelques années, tu revenais le plus possible ton sol préféré. T'es même rentré dès que tu as pu.
caractère : Pureté au fond des veines, t'es d'une douceur légendaire. Une âme constamment tournée vers les autres, quitte à t'oublier, parfois. Le sourire placardé sur ton joli minois, même quand ça ne va pas, parce que tu ne te sens pas digne d'inquiéter qui que ce soit. Débrouillard au possible, tu ne peux féliciter que toi pour en être arrivé là. T'aimes pas prendre les mains tendues, et pourtant tu passe ta vie à offrir ton aide aux autres. Daron en puissance, t'as mis ton rôle de grand frère au placard quand papa à foutu le camp et que maman est partie au ciel. Tu veilles sur ton petit frère, la prunelle de tes yeux, depuis qu'il est gamin. A tel point que la frontière avec ce lien qui vous lie paraît de plus en plus floue. T'as tendance à oublier que t'es pas son père. Il a tendance à oublier que c'est toi qui as sa garde maintenant. Le cœur amoché pour avoir trop donné, t'offres ton palpitant à qui en veut, autant que ta confiance, tout en fermant les yeux. T'as pas toujours choisis les bonnes personnes pour faire partie de ta vie, mais t'écoutes pas quand on te dis que tu fonces droit dans le mur. T'as tendance à vouloir te planter par toi même, pour vivre intensément, même si ça doit faire mal. Et n'avoir aucun regret, surtout. T'es peut être un peu naïf, finalement, de tout donner en si peu de temps. Les opales dirigées vers le sourire le plus beau que t'ai jamais vu, là aussi tu clos les paupières, te voiles la face, persuadé qu'elle vaut bien que ça, bien mieux que toi. Myocarde qui tressaute, qui défailles, mais pas pour un corps, plutôt pour un cœur. T'aimes les gens, passionnément, tu restes persuadé que personne n'est foncièrement mauvais et que toute âme est bonne à sauver. Instable émotionnellement, t'as enchaîné les relations, mais rien n'y fait. Si la flamme à su briller en toi, il y'a toujours une bonne raison pour mettre fin à tes idylles, et souvent, c'est toi qui pars, mais jamais avec fracas, t'aimes pas ça. Passionné par l'histoire, t'as eu espoir de prendre la place de ceux qui - autrefois - ont su captiver tes synapses et raviver ton âme qui semblait se briser sous le poids de la culpabilité et de la colère. Colère encore bien vive, trou béant dans la poitrine quand tu penses à ton paternel et à cet héritage laissé. Une haine fulgurante que tu contiens en extériorisant sur des sacs ou en cours de boxe. Le besoin de tout lâcher pour ne pas imploser. Tu sais que tu tiens ça de lui, et c'est ce qui t'effraies. Autant que tes traits qui - en vieillissant - font miroirs aux siens. Finalement, tu fais tout ce que tu peux pour être l'opposé de ton paternel.Groupe : whitewater
avatar + origines :Harry Styles (Anglaises)


Who are you?.
tw : Violence physique / conjugale // Abandon // Accident // Deuil.

[01.] Premier cri poussé à Green Bay, c'est avec amour que t'es accueillis pas ta chère mère. Ton père, lui, avait autre chose à faire paraît il, ce jour là. T'ouvres même pas encore les yeux que tu comprends que votre relation s'annonce conflictuelle. Il n'a jamais voulu de toi, bébé surprise qu'il n'était pas prêt à assumer. Parfois tu te demandes pourquoi ta mère est restée près de lui. [02.] Il ne te regardes pas, il te parles pas, mais finalement tu t'y fais. Si les premières années tu tentes d'obtenir son attention, l'habitude te gagnes. D'autant plus lorsqu'on t'annonce que tu va être grand frère. Qu'un tout petit être viendra faire briller un peu plus le soleil dans cette maison. C'est à 10 ans que tu tiens ton cadet pour la première fois dans tes bras. Un trésor pour toi, le début des ennuis pour votre famille. [03.] Papa, déjà porté sur la bouteille, accentue ses vices. Il sent la vignasse à des kilomètres et ça a tendance à énerver maman. Toi tu te bouches les oreilles quand ils crient, tu t'enfermes dans ta chambre ou bien celle du bébé, et tu occupes ton esprit enfantin. Jusqu'à ce que ce que tes prunelles observent une scène qui te hanteras à jamais. La joue marquée de maman, les yeux rougies par la colère, la peur et la tristesse, la silhouette recroquevillée sur le sol quand son bourreau relève la main. T'as même pas réfléchis, tu t'es placé devant elle, t'as pris la gifle à sa place. Elle ne sait pas se le pardonner, ça, d'ailleurs. Mais ça a au moins calmé papa. Un temps. 04.] Premier coup porté, c'est plus facile maintenant de donner les autres. Limite franchie, culpabilité assourdie, il te regarde même dans les yeux quand il porte la sentence. Pour le moindre mot de travers, ou les yeux levés au ciel. Maman essaye de le stopper, mais elle a peur. Et t'arrives même pas à lui en vouloir pour ça. Petit frère sera témoin dans ses jeunes années de tout ce que tu as subis. Tu peux au moins te féliciter d'avoir été le seul à en souffrir. [05.] L'école ne remarque rien, parce que t'es bon élève. Ton refuge est entre ces murs, le nez plongé dans tes livres d'histoire dans lequel tu éprouves un certain réconfort. Apprendre à toujours été une facilité pour toi, même si tu n'aimes pas t'en vanter. Tu t'accroches à un monde imaginaire, à un passé qui a bien existé, loin de tes peines, loin de tes cauchemars, loin des bleus qui parsèment ton petit corps. Et tu t'y découvres finalement une passion. Chemin tout tracé à l'âge de quatorze ans, maman t'encourages quand papa répètes en boucle que tu ne feras jamais rien de ta vie. [06.] T'as dix huit ans, le diplôme en poche, et l'espoir d'obtenir une bourse à la fac. T'as peur, pourtant, de devoir abandonner maman et petit frère derrière toi. De devoir les laisser avec lui. Longtemps tu hésites, mais le gamin te presses d'y aller, il croit en toi, lui, et ça te fais pousser des ailes. Alors tu fais tes bagages, prêt à partir, quand une dernière dispute éclate. Peut être la seule fois où tu as décidé de ne pas baisser le regard, de ne pas attendre que sa colère s'apaise. T'as riposté, t'en as gardé des blessures quelques temps, mais il a poussé la porte cette nuit là, et vous ne l'avez plus jamais revu.[07.] Toi à l'université de Colombia, maman libérée de son engrenage, petit frère qui semble retrouver le sourire peu à peu. Toi aussi, Eliott, tu revis. Maman galère un peu, alors tu trouve un petit boulot dans un resto pour l'aider à payer les factures. Tu dors pas beaucoup, mais t'es motivé. [08.] T'oublieras jamais la fierté de maman quand t'as enfin obtenu ton diplôme universitaire, ni même le sourire de ton cadet. T'as eu l'impression qu'il avait prit quarante centimètre, tant il te semblais changé. La culpabilité d'être si loin d'eux, même pour la bonne cause.  T'as hésité, puis t'es finalement rentré à Green Bay après tes études, en décrochant, au passage, un poste de professeur d'histoire au lycée du coin. Ce qui n'a pas plu à ton petit frère. Ca ne lui plait toujours pas d'ailleurs. [09.] L'instabilité éternelle, t'as pourtant réussis à trouver tes marques - un temps - auprès de ta collègue de travail. Professeur elle aussi, petite idylle d'abord dissimulée avant que les bruits de couloirs ne vous dépassent. T'avais presque oublié comment ça se passait, au lycée. Les jours sont devenus des semaines, puis des mois. Une belle année écoulée où tu as presque oublié ce qu'était la solitude. Première histoire de longue durée qu'à compté ton existence, la seule finalement. [10.] Coup de téléphone tardif, toi qui rangeait les cartons dans votre nouvel appartement. La décision enfin prise de se lancer, à deux, dans cette nouvelle aventure. C'est tout ton monde qui s'écroule quand tu comprends que toi et le frangin devenez orphelins. Un accident de la route, une nuit pluvieuse, un chemin glissant. Et vous voilà seuls au monde. T'as crié tellement fort que t'as eu l'impression que tes poumons allaient lâcher. [11.] Papa introuvable - sûrement mort à l'heure qu'il est - t'as été désigné comme dernier membre vivant et majeur de cette famille. Tuteur légal est le mot correct, même si t'aimes pas ce terme. C'est à toi que reviens la charge de prendre soin de ton adolescent de petit frère. La vie complètement bouleversée, tu sembles absent à la maison. A tel point que tu délaisses celle qui fait palpiter ton cœur. Ton rayon de soleil lui même ne parvient pas à faire briller ton regard et - petit à petit - tu la sens te glisser entre les doigts. Séparation inévitable après plus d'un an et demi d'amour, pour toi qui cache encore un écrin au fond de ta table de nuit. [12.] La salle de sport foulée bien des fois pour canaliser ta colère, tu virevoltes entre ces murs, ceux du lycée et ceux de l'hôpital. Bénévole en pédiatrie, t'essayes d'égailler les journées des gamins au moins deux fois par semaine quand le petit frère finit plus tard. La vie bien rangée, presque chronométrée, t'as l'impression de manquer de temps, parfois. Il n'y a pas assez de vingt quatre heures dans une journée. Piètre cuisinier, tu laisses les fourneaux à ton cadet la plupart du temps, quand tu ne fais pas chauffer la carte de crédit pour de la bouffe à livrer.


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(#) Re: Baby, how do you sleep when you lie to me? // Eliott    Mar 13 Sep - 22:29

Mes liens


@Olivia Reid
Meilleure amie Inséparables depuis le lycée, voisins de classe et bras dessus / bras dessous dans les couloirs, Ollie à été jusqu'à être sa colocataire lors de tes études à Colombia. C'était avec elle ou rien, de toute manière, tu n'as jamais su être loin de ton Ollie. Il y'a, entre vous, un lien que tu n'expliques pas. Elle est comme une soeur pour toi, ton âme soeur, ta confidente, ton trésor. Celle qui te remets les pieds sur terre, parfois, quand tu sembles prendre les mauvaises décisions, et réciproquement.


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